Au moins 5 chapitres supplémentaires sont prêts, ou presque, pour la suite de l'histoire-feuilleton sans titre.
Bribes diverses et avariées:
"Dans la chambre, Kurt dort au sol à mes côtés. En fait, c'est moi qui suis entre le loup et l'agneau.
Et si Sonia est l'agneau, Satan sait que je suis le serpent."
"Ou on baiserait comme des bêtes sans se dire un mot, nous rappelant de nos torsions de chairs sous alcool, on ferait les mêmes gestes brusques, mais en mieux. On serait toujours des niqués de la tête, mais en mieux. On se sentirait toujours autant tordus, mais on se sentirait mieux.
Mais bien-sûr."
"On dit que quand il y a une arme dans une histoire, c'est qu'elle va servir. Que les armes sont faites pour blesser et tuer. Pas pour dormir indéfiniment dans une boîte, tout au-dessus de l'armoire."
"De la folie et de la maladie, de l'amour et de la violence, des envies à coups de hache, de l'oubli au lance-flammes, des souvenirs de romances qui leur avaient fait des trous à la manivelle. Et tant de proches enterrés, cramés, perdus, oubliés.
Pourtant, aucun au milieu qui n'eut valu mieux que les autres."
"Tu as de la haine en toi, de la haine que tu craches comme de la bile. Tu la craches comme tu respires, et tu te trouves drôle. Le mieux, c'est que je pense que tu caches ton jeu. Que tu es encore pire qu'on le croit. Ne reviens pas chez nous, tu n'y seras pas le bienvenu."
"Quand tu crois que ce n'est pas possible d'aller plus loin, ou plus bas, PAF !, ça te repète à la gueule, les petites saloperies, les bassesses et l'égoïsme-roi."
"Un vrai cauchemar.
Le beau rêve a tourné au cauchemar. Pfuit, claquement de doigts, le beau tableau se déchire.
Mais foutez-nous la paix !
On n' a pas demandé ce qui s'est passé. C'est vous qui êtes arrivés avec votre violence et votre bêtise !"
Comme ça, je pense sortir le numéro deux à l'automne.
J'écris ça, j'écris rien.